
Il commencera par fréquenter l’Ecole des Beaux-Arts de Tétouan en tant qu’auditeur libre avant de s’inscrire à l’Ecole Nationale des Beaux-Arts de Paris. Depuis, Moa, surnom qu’il prendra pour éviter les erreurs fréquentes dues à son homonymie avec un peintre marocain décédé, ne cessera de présenter des œuvres fortes comme autant d’odes aux forces vitales de la nature. Rouges, bleus et ocres éclatent sur la toile. Et toujours ces vagues débordantes, ces déflagrations de matières traversées de lumières aveuglantes qui vibrent, qui palpitent.
|